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Les gens de Bilbao naissent où ils veulent: premier roman

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ZTS2023
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Me he sentido muy cómodo leyendo a la autora, como si me lo estuviese contando a mí directamente. Me ha gustado cómo está planteado todo y cómo va avanzando por los años hasta saber sobre sus orígenes, su nacimiento en Bilbao y su pronta ¿huida? a París. Muchos misterios en torno a su nacimiento que se dedicará a tratar de dilucidar. Cette autobiographie est remarquable par la complexité du parcours familial, certes, mais aussi par le ton et l'écriture, qui ne laisse pas de répit. Dès les premières lignes, on se passionne pour ces destins misérables mais marqués par une volonté de s'en sortir, avec plus ou moins de succès. C'est vivant, dynamique, passionnant. Voy con pies de plomo en esta reseña porque quizás en la misma sinopsis desvelan más de la cuenta depende del tipo de lector(a) que seas, y quiero decirlo, porque es un tema que a mucha gente atrae mucho, pero también me parece una historia para ir lo más a ciegas posible, así que lo dejo en vuestras manos. Yo no la leí y me alegro de no haberlo hecho.

NetGalleyFrance et @Grasset pour #lesgensdeBilbaonaissentouilsveulent de @marialarreal Puis quelques extraits

Le magazine

Au cours de ce roman autobiographique, elle libère tout ce qui freine son épanouissement complet de fille d'immigrés espagnols qui a grandi au coeur de Paris. Los de Bilbao nacen donde quieren' la autora María Larrea, cayó en mis manos de manera bastante casual. Al ver de qué trataba y de que había recibido algo de atención en Francia, donde fue publicado por primera vez, me lancé a leerlo, además no era una novela muy larga. me ha parecido una historia interesante, bien escrita y correcta, aunque creo que empieza con mucha fuerza, mostrando la España de los años 70, y poco a poco va perdiéndola. Ils vont avoir un enfant, Maria, la narratrice du roman qui, tout en nous contant l'enfance et la rencontre de ses parents nous fait découvrir sa propre enfance entre ce père basque nationaliste, l'ETA étant sa seule religion, ce père devenu alcoolique et violent et sa mère résignée, aux senteurs d'eau de javel.

Les gens de Bilbao naissent où ils veulent raconte la quête de son auteure, Maria Larrea, pour retrouver sa famille biologique. C'est un roman profondément intime qui, par un montage alterné, nous entraîne dans l'histoire d'une famille, la mère, le père et leur enfant, l'histoire de trois destins. Scénariste pour le cinéma, Maria Larrea a su projeter les éléments de son autobiographie dans un premier roman tendu comme une arbalète, décochant ses scènes fortes dans le torrent d’une narration aux mots cinglants, toute entière au service d’une urgence impérieuse : « raconter mon histoire », « me la réapproprier », « récupérer le roman familial », « écrire ma vérité ». Une vérité sans laquelle les non-dits ont longtemps et insidieusement creusé leur sillon douloureux, jetant notamment Maria adolescente dans l’instabilité, la rébellion, enfin dans un mélange de honte, de rancoeur et de colère l’empêchant de se construire. Son parcours tumultueux frappe d’autant plus qu’elle nous le livre sans fard, avec une sincérité presque brutale, sur le fond implacable d’une Espagne franquiste misérable et violente, relayé par celui du déracinement et de l’ostracisme vécus dans l’exil, avant que passé et présent ne s’entremêlent autour de l’affaire des bébés volés du franquisme et du parcours du combattant des victimes pour retrouver leur identité. Tous deux n'ont qu'un souhait, fuir ce passé et le traumatisme provoqué par leur abandon, fuir ces institutions religieuses écrasantes et s'éloigner de cette Espagne franquiste.Le Pays basque pour les Basques était son mantra, lui, l’immigré qui habitait Paris et buvait du bordeaux dans un restaurant grec tenu par des Égyptiens. Il voulait incruster dans ma cervelle cette fierté de l’appartenance, tu es basque, tu n’es pas espagnole. Ici en bref En cuanto a la forma del libro, se divide en 33 capítulos muy cortos y un epílogo. La autora cambia de la primera a la tercera persona dependiendo de la línea temporal en la que situe la narración, lo cual me ha parecido un acierto, pues me gustan las obras que entremezclan dos estilos para dar voz a sus protagonistas. En algunas ocasiones, este tipo de recursos dan lugar a confusión, pero no es algo que suceda en esta obra, Larrea sabe como llevar a cabo este recurso. J’ai aimé que la quête de sa mère biologique ne soit pas pavée de roses, qu’elle dure des années, comme dans la vraie vie, quoi.

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